Passion de l'image

Une année avec la nature (2023)

EN AUBRAC

Partir en Aubrac, c'est faire un bond dans le temps et faire une rupture totale avec le monde moderne.

Tout d'abord, avec l'immensité des paysages de l'Aubrac et les vastes pâturages, le regard se perd entre la terre et le ciel. On est d'autant plus hypnotisé lorsqu'une lumière rasante vient caresser les reliefs arrondis du plateau de l'Aubrac.

L'oeil peut toutefois réussir à s'arrêter sur l'un des symboles forts de l'Aubrac : sur le jaune de la gentiane, sur un buron authentique, sur une rivière en mouvement ou bien encore sur une vache de race Aubrac en train de brouter l'herbe fraîche paisiblement.

L'envie est trop forte, on a besoin d'en savoir plus et d'aller voir ce patrimoine d'un peu plus prêt.

En empruntant l'un des nombreux chemins, les fameux "drailles".

Comme le font de nombreux pèlerins.

Et avec toujours comme point de mire les fameuses roches en granit éparpillées parmi les herbes et qui donnent à l'Aubrac ce cachet si typique et si caractéristique dans les paysages.

Tout en marchant, la beauté et les couleurs de la flore, un cerf qui nous passe subitement devant, le bruit de l'eau qui coule nous ensorcelle définitivement.

Le territoire de l'Aubrac est bien le pays de la douceur de vivre, le pays pour admirer la nature, le pays pour prendre le temps, on est bien, on oublie tout, on est loin de tout, il y a pas trop de monde et on se ressource.

Après une telle bouffée d'oxygène, on peut redescendre vers les villages.

Pour découvrir le patrimoine architectural riche et varié de l'Aubrac avec ses maisons anciennes en pierre, ses vieilles portes de granges, ses églises, ses fontaines et ses croix.

Au fil des rues, on respire l'ancien, on voit de l'authentique, on ressent du vécu, on imagine des histoires, on s'imprègne du travail et de la manière de vivre des hommes d'autrefois.

On est aspiré par les matières, surtout par la pierre, mais également par le bois et le fer présents sur les portes et les fenêtres.

Quitter l'Aubrac, c'est rentrer chez soit avec l'esprit rempli de beauté, c'est un déchirement et un bouleversement, c'est une envie de revenir le plus vite possible.

On ressent du vécu pour cette ancienne remorque.

Elle a sans doute de nombreuses histoires à raconter.

Le temps s'est arrêté pour cet ancien volet à Saint-Chély d'Aubrac.

Depuis combien de temps est-il fermé?

Un ancien lustre en napperon dans une auberge de l'Aubrac :

Un pot en pierre posé à cet endroit depuis certainement plusieurs années :

Le temps s'est arrêté au niveau de cette porte de jardin :

Un moment d'émotion dans un jardin de l'Aubrac :

Une vieille maison qui a subit la loi du temps qui passe :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

Un vanneau huppé proche du moulin des Loges

Un groupe de vanneaux huppé et de mouettes :

Des vanneaux huppé :

Un chevalier cul-blanc :

Un goéland argenté :

Des aigrettes garzette :

Le héron cendré :

Le chevalier gambette :

Le cygne tuberculé :

La poule d'eau avec son petit :

Le courlis cendré :

L'accenteur mouchet :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

L'ostréiculture est le poumon économique de l'estuaire de la Seudre.

Tout le long de l'estuaire, il est facile de se déplacer de port en port ostréicole pour observer le travail des hommes à produire des huitres de qualité.

Car il se passe toujours quelque chose dans un port ostréicole.

Des engins de manutention sont en mouvement, des bateaux à fond plat font des va-et-vient et des hommes s'activent à l'intérieur des cabanes.

L'ostréicilture est une activité très proche de la nature où les hommes font preuve de courage et de robustesse face aux éléments climatiques et face aux conditions physiques qu'elle exige.

Cabanes ostréicoles le long du canal de la Tremblade

Le port de la Cayenne à Marennes :

Au large du port de la Cayenne, sur la Seudre, un bateau de pêche à écrevisses :

Port Paradis à Nieulle-sur-Seudre :

Le port ostréicole de l'Eguille :

Avec des bateaux de pêche spécifiques :

Le port ostréicole de Chaillevette :

Le port ostréicole de Chatressac :

Le port ostréicole de Coux :

Port ostréicole de la Grève à Duret :

L'ostréiculture le long du canal de la Tremblade :

Puis à la Route Neuve, toujours à la Tremblade :

Tout au bout de la Route Neuve, un point de vue sur la Seudre et sur les cabanes ostréicoles de l'autre rive :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

Pour découvrir les marais de la Seudre avec son patrimoine bâti et naturel, j'ai déjà évoqué qu'il fallait ne pas hésiter à empreinter les petites routes.

Mais il y a aussi un autre moyen : faire un voyage avec le train des Mouettes !

Celui-ci a l'avantage de traverser les marais de la Seudre entre la Tremblade et Saujon soit sur toute la longueur de l'estuaire.

Par l'intermédiaire des grandes ouvertures disposées dans les wagons, on peut facilement admirer les paysages des marais de la Seudre.

Utiliser le train des Mouettes, c'est aussi faire un saut dans le temps avec son ancienne locomotive à vapeur.

Le train est d'ailleurs classé Monument Historique.

La gare de Saujon, que le voyage commence !

Le train des Mouettes :

L'ancienne locomotive à vapeur :

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EN CHARENTE-MARITIME

L'église de Chaillevette :

Mornac-sur-Seudre, le village le plus connu des marais de la Seudre.

Il est classé plus beau village de France.

La belle église de Mornac est classée :

Une porte ancienne de l'église :

La porte principale de l'église de Mornac-sur-Seudre :

L'intérieur de l'église :

Les ruelles de Mornac-sur-Seudre :

Le long de l'estuaire de la Seudre, la belle église Saint-Saturnin à Saint-Sornin :

A Saint-Sornin, on retrouve également la plus petite prison de France :

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EN CHARENTE-MARITIME

Avec le petit patrimoine bâti, de nombreuses maisons et cabanes sont également à découvrir sur le territoire des marais de la Seudre.

Il ne faut pas hésiter à sillonner les petites routes au milieu des marais pour appercevoir un maximum de maisons et de cabanes.

Elles sont de style très variées, certaines sont typiques et ornées avec goût tandis que d'autres sont abandonnées.

Elles peuvent aussi être construites en bois ou en pierre et être de couleurs différentes.

On peut s'interroger sur leur fonction : lieu d'habitation temporaire, lieu pour entreposer du matériel, lieu de refuge et de repos, lieu de loisir...

En observant toutes ces cabanes, on peut laisser libre notre imagination et se laisser porter par un moment de vie dans les marais.

Superbe cabane dans le secteur de Nieulle-sur-Seudre

Douce lumière d'hiver sur cette cabane

Une lumière rase devant une ancienne bâtisse

Etre sans voisin

Ciel d'orage pour mettre en valeur la couleur rosée de cette cabane

La bâtisse la plus connue des marais de la Seudre est le moulin des Loges :

Non loin du moulin des Loges, une cabane abandonnée :

Des maisons et des cabanes de toutes sortes réparties sur le territoire des marais de la Seudre :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

Le petit patrimoine des marais de la Seudre est en tout point remarquable.

Avec notament les tourettes qui servaient à entreposer le sel et les timbres qui sont des abreuvoirs taillés dans la pierre.

Au fur et à mesure que j'ai découvert les marais de la Seudre, j'ai pu me rendre compte de la présence importante de la pierre dans les paysages.

Elle sert à la construction des tourettes et des puits mais également à fixer des barrières et des clôtures pour délimiter les parcelles.

Pour découvrir le petit patrimoine des marais de la Seudre réparti sur tout le territoire, il ne faut pas hésiter à empreinter les nombreuses petites routes entre les marais.

Une tourette

Des barrières dans les paysages

Un abreuvoir en pierre appelé "timbre" :

Des "tourettes" sont disséminées sur le territoire des marais de la Seudre :

Des pierres isolées dans les paysages :

Dans les marais de la Seudre, on observe de nombreuses barrières et clôtures dans les paysages :

Elément incontournable du patrimoine des marais de la Seudre, les puits :

Des ouvrages hydrauliques liés à la présence de nombreux bassins et canaux :

Des carrelets sont également présents au bord des canaux :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

Au sud de l'entrée de l'Ile d'Oléron, une vaste zone de marais s'étale de la Tremblade jusqu'à Saujon.

Il s'agit de l'estuaire de la Seudre qui est le plus petit de France.

Il m'a fallu quelques journées sur une période de trois années pour faire le tour de l'estuaire de la Seudre et pour découvrir ses spécificités.

Et pour cumuler également un nombre d'images suffisantes pour valoriser ce territoire !

En comparaison avec les marais de Brouage, situés quant à eux au nord de l'entrée de l'Ile d'Oléron, l'estuaire de la Seudre est beaucoup plus orientée sur l'activité de l'ostréiculture, surtout sur sa rive droite.

On retrouve en effet de nombreux ports ostréicoles et les paysages sont fortement constitués de bassins et de claires ainsi que de cabanes ostréicoles.

La deuxième grande différence avec les marais de Brouage est au niveau du petit patrimoine bâti.

Il est très riche et varié dans les marais de la Seudre avec de nombreux puits, des abreuvoirs en pierre appelés "timbres" et avec des petites constructions en pierre appelées des tourettes.

Le patrimoine lié à la circulation de l'eau est également important avec de multiples infrastructures pour réguler les niveaux.

Le patrimoine naturel n'est pas en reste avec de nombreux oiseaux.

Enfin, le village de Mornac-sur-Seudre classé plus beau village de France et avec le typique train des Mouettes viennent compléter le beau tableau que sont les marais de la Seudre.

Le pont de la Tremblade permet de franchir la Seudre et de se retrouver sur la rive droite de l'estuaire.

On est tout de suite plongé dans l'ambiance des marais de la Seudre avec les bateaux ostréicoles juste en dessous du pont :

Une vue générale sur les marais de la Seudre :

Les rives de la Seudre :

Dans les paysages, on retrouve une végétation basse, des arbres isolés, des prairies et une ambiance "campagnarde" :

Parmi la végétation, l'omniprésence de l'eau :

Sous forme de bassins ou de claires :

Le réseau hydraulique est complexe avec de nombreux canaux :

Et des bancs de vase sur les bordures :

Parmi les canaux, des petits bouts de ports très typiques :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

Suite à mon article précédent sur la diversité des oiseaux sur le bord de mer de l'Ile d'Oléron, voici maintenant un article consacré à la diversité des oiseaux que l'on peut rencontrer dans les marais de la Charente-Maritime, ceux de Brouage et du nord de Rochefort.

Des espèces sont assez faciles à observer comme les aigrettes et les hérons tandis que d'autres, comme la gorge-bleue, sont plus discrètes et plus localisées.

Il est donc nécessaire de bien connaître la biologie des espèces pour avoir un maximum de chance de les appercevoir.

L'ensemble des oiseaux de la Charente-Maritime constituent un réservoir de biodiversité qu'il convient de protéger si on veut continuer à s'émerveiller devant leur couleur et leur comportement.

Vanneau huppé au mois de février

Le vanneau huppé est présent en nombre dans les marais de Brouage en hiver

Vanneau huppé

Le héron cendré à l'affût

Portrait du héron cendré en hiver

Le héron cendré au printemps

La discrétion du héron garde-boeufs

Dans les marais de Rochefort, le faisan mâle

Pas très loin, la faisanne !

Le traquet motteux au printemps

Passereau fétiche, la gorge-bleue

La gorge-bleue en pleine période de reproduction

Petit trésor des marais, la cistude d'Europe !

Série photographique sur la diversité des oiseaux rencontrés dans les marais en 2023.

Avec tout d'abord les rapaces que j'ai pu observer en hiver :

Portrait du faucon crécerelle :

Le busard des roseaux : 

Après les rapaces, le vanneau huppé également présent dans les marais en hiver :

Commun, le foulque macroule que l'on peut voir en hiver et au printemps dans les marais de Charente-Maritime :

Le héron cendré est également présent en nombre :

Une cigogne blanche en février.

Quelques individus restent en hiver en Charente-Maritime.

L'aigrette garzette, très commune :

Le cygne tuberculé au printemps :

Du côté des passereaux, la bergeronnette grise :

Et la bergeronnette printanière :

Le traquet motteux qui revient au printemps :

Le passereau "star" des marais de la Charente-Maritime, la gorge-bleue :

Coloré, le chardonneret élégant :

La gracieuse échasse blanche :

Le tadorne de belon :

La spatule blanche :

Et le héron garde-boeufs :

Une année avec la nature (2023)

EN CHARENTE-MARITIME

Au nord de Bourcefranc-le-Chapus, un vaste territoire constitué de marais domine les paysages.

Jusqu'à Rochefort, les marais de Brouage, sauvages, accueillent de nombreux oiseaux à toutes les saisons.

Les marais de Brouage sont également une terre d'élevage avec la présence de nombreuses barrières et de cabanes pastorales.

Après Rochefort, les paysages qui dominent sont composés de cultures, de prairies et de marais.

Entre ces zones de marais, la citadelle de Brouage et la ville de Rochefort sont à découvrir pour leur riche patrimoine historique.

Arbre isolé dans les marais de Brouage

Les marais de Brouage

Port typique à côté de la Citadelle de Brouage

Les maisons de la rue principale de la Citadelle de Brouage

La porte de l'Arsenal à Rochefort

Les marais de Voutron au nord de Rochefort

Série d'images sur les marais de Brouage en 2023.

Avec les marais, les arbres isolés et les barrières typiques.

Dans les marais de Brouage, l'élevage est bien représenté :

Juste à côté de la Citadelle de Brouage, un lieu assez méconnu : le port de la Cayenne.

C'est un site ostréicole avec un chenal constitué de pontons en bois typiques.

Et tout au bout du chenal, c'est la mer :

Le chenal, son port, ses bateaux et ses cabanes ostréicoles :

Au milieu des marais, la Citadelle de Brouage, classée Plus Beau Village de France, avec ses remparts :

Des éléments anciens sont à découvrir à l'intérieur de la Citadelle :

Un ancien grenier à sel :

Des scluptures sur les batiments :

Les maisons à la chaux blanche de la Citadelle :

L'église de la Citadelle de Brouage :

Et son horloge :

Un ancien puit :

Après le pays de Hiers-Brouage, les marais au nord de Rochefort :

Puis les monuments prestigieux de la ville de Rochefort :

Dont la Corderie Royale :

Et la tour des signaux :