Une année avec la nature (2022)

DEUX SAISONS SUR L'ILE D'OLERON

Il est agréable de parcourir le bord de mer à marée basse pour s'enivrer de l'air marin, quelque soit la saison.

Certaines personnes en profitent pour exercer la pêche à pied.

De mon côté, je préfère la marée basse pour admirer les paysages sauvages de l'île d'Oléron, pour la liberté et pour observer les oiseaux en train de se nourrir sur l'estran.

C'est aussi l'occasion d'observer l'océan différemment et d'appercevoir des traces des activités humaines.

Certaines peuvent être très anciennes et être intéressantes d'un point de vue historique.

Lorsque la mer se retire, on découvre des vestiges ostréicoles 

On découvre également à marée basse, parmi les rochers, des accessoires qui permettaient d'amarrer les bateaux :

On peut appercevoir également du matériel de pêche :

Les vestiges d'une ancienne écluse à poissons ?

Des rochers de formes différentes :

Un peu plus haut sur la plage, au niveau de la laisse de mer, des spécimens de formes et de couleurs variées :

Une année avec la nature (2022)

DEUX SAISONS SUR L'ILE D'OLERON

Le bassin de Marennes-Oléron est réputé pour être l'un des sites les plus importants de France pour l'élevage et la production des huitres.

Au même titre que le patrimoine bâti, les activités économiques de pêche et d'ostréiculture apportent une identité forte à l'Ile d'Oléron.

Je me suis attaché cette année à parcourir les quais des ports de la Cotinière et du Chapus pour m'imprégner du rythme des activités de pêche et d'ostréiculture.

En faisant notament des gros plans sur le matériel nécessaire aux professionnels pour le bon déroulement de leurs activités.

Quant à eux, les oiseaux marins, avec leur cri puissant, animent l'ambiance dans les ports.

Dans une ambiance hivernale, un bateau de pêche au port de la Cotinière

Sur une pelouse humide, un tournepierre au port de la Cotinière

Sous un ciel gris, un autre tournepierre au port de la Cotinière

Brouillard et grisaille au port de la Cotinière au mois de février :

Gros plan sur les filets d'un bateau de pêche :

 Au port de la Cotinière, il est agréable de déambuler autour du port pour s'imprégner de l'activité de la pêche :

Les bacs et les fllets s'entremêlent très bien ensemble sur les quais du port de la Cotinière :

Le retour des bateaux de pêche au port est toujours une activité agréable à observer :

Après le port de la Cotinière, le port du Chapus, situé sur la commune de Bourcefranc à l'entrée de l'Ile d'Oléron, est davantage orienté sur l'activité ostréicole.

Là aussi, le va et vient des bateaux rythme la vie du port :

Les bateaux ostréicoles à fond plat sont nombreux au port du Chapus :

Dans les ports, il n'y a pas que les activités de pêche et d'ostréiculture qui mettent de la vie.

Il y a également les oiseaux marins qui trouvent un lieu de repos et d'alimentation dans les ports :

Assez rare, un couple de mouette mélanocéphale au port de la Cotinière :

Un goéland "bleu-blanc-rouge" :

L'activité ostréicole qui est bien implantée sur le littoral charentais, comme ci-dessous à Bourcefranc :

Des vestiges ostréicoles :

Les cabanes ostréicoles, colorées, situées le long des côtes, caractèrisent les paysages du bord de mer de l'Ile d'Oléron et de ses alentours :

Une année avec la nature (2022)

DEUX SAISONS SUR L'ILE D'OLERON

Au fil des années, je continus de découvrir le patrimoine bâti de l'Ile d'Oléron. Et d'alimenter ma photothèque !

En sortant des sentiers battus et avec un oeil attentif, on peut appercevoir de véritables petits trésors disséminés sur l'ensemble du territoire.

Dans les villages, au coeur des marais, sur le bord de mer, un important patrimoine riche et varié, pourtant méconnu, mérite le détour.

Puit ancien à Bourcefranc, à l'entrée de l'Ile d'Oléron

Un autre puit dans le village de Saint-Georges d'Oléron :

Discret, un petit pont en pierre parmi les marais de l'Ile d'Oléron :

Encore plus discret, un abreuvoir pour les animaux d'élevage, lui aussi en pierre :

En arpentant les ruelles des villages Oléronnais, on peut découvrir des maisons anciennes avec leurs escaliers extérieurs :

Des portes anciennes :

Un carrelet à proximité des marais du Douhet :

Avec ses cordages :

An autre carrelet, situé cette fois-ci sur le bord de mer :

Un point de vue original sur le Fort Louvois :

L'Ile d'Oléron est dotée de belles églises, dont celle de La Brée-les-Bains :

Les villages de l'île regorgent de petits trésors, comme la vieille halle de Saint-Georges d'Oléron :

La vieille halle est accompagnée d'une très belle église :

Avec un beau cloché :

Enfin, à proximité de l'église, un cadran solaire :

Une année avec la nature (2022)

DEUX SAISONS SUR L'ILE D'OLERON

En 2022, j'ai effectué deux nouveaux séjours sur l'Ile d'Oléron, à deux saisons différentes, en hiver et au printemps.

Je me rends sur ce territoire depuis plus d'une dizaine d'années et je continue de cumuler des images sur le patrimoine bâti et naturel.

Je vous présente alors à partir de cet article les photos de cette année.

J'ai essayé de capturer des images en mettant l'accent sur certains détails de ce territoire riche et varié pour le mettre en valeur car il en vaut vraiment le détour.

J'aime fouiller, arpenter, prendre des petites routes, sortir des grands circuits touristiques et poser mon regard sur des éléments du patrimoine que les gens ne remarquent pas forcément toujours.

Rassemblement de bernaches et de limicoles sur l'Ile d'Oléron

La puissance des vagues en hiver sur l'Ile d'Oléron

L'hiver sur l'Ile d'Oléron, c'est des plages presque désertes sauf pour quelques courageux.

Surtout lorsque le brouillard est présent.

Loin de la foule estivale, on est bien.

L'hiver, les cabines de plages sont fermées et sans vie, comme ci-dessous à la plage de La Brée.

Mais elles apportent de la couleur dans le paysage.

Belle lumière d'hiver sur ce bateau abandonné :

Au mois de février, le mimosa et son jaune éclatant apporte de la couleur sur l'ensemble de l'Ile d'Oléron :

Au début du printemps, la végétation retrouve ses couleurs vertes, comme ci-dessous dans les marais de l'Aiguille :

Au printemps, le ciel bleu refait son apparition et illumine les écluses à poissons sur le littoral Oléronnais :

Le retour du soleil au printemps apporte également de belles nuances de couleurs à l'océan :

Lumière printanière sur le phare du port de la Cotinière :

Une année avec la nature (2021)

LE PATRIMOINE DE LA CHARENTE-MARITIME

(Ile d'Oléron, marais de Hiers/Brouage, marais des bords de la Charente, marais de la Seudre)

En hiver et au printemps

Le territoire de la Charente-Maritime est largement dominé par les activités ostréicoles avec notamment les fameuses huitres du bassin de Marennes-Oléron.

Véritable poumon économique, il en découle un patrimoine spécifique nécessaire au développement de cette activité avec en autre les nombreuses cabanes ostréicoles.

En parlant d'ostréiculture, vous découvrirez prochainement sur ce site une autre région de France très largement rythmée par cette activité.

Carrelets à proximité du Fort La Pointe

Estuaire de la Charente-Maritime

Bâtisse dans les marais de Brouage

Cabane ostréicole sur l'Ile d'Oléron

Les cabines de plage agrémentent le bord de mer de l'Ile d'Oléron avec leurs couleurs :

Autre style de cabane, toujours sur le bord de mer de l'Ile d'Oléron, un carrelet :

D'autres carrelets sont présents sur les bords de l'estuaire de la Charente :

Côté terre, dans les marais de la Charente-Maritime, plein de sortes de cabanes habillent le paysage.

Leurs fonctions peuvent être multiples : pour l'élevage, pour la chasse, pour s'abriter, pour entreposer du matériel...

Cabanes dans les marais de Brouage :

Bâtisses dans les marais de la Seudre:

Plus connu, les cabanes ostréicoles de l'Ile d'Oléron :

L'ostréiculture est également très développée à l'entrée de l'Ile d'Oléron, comme ci-dessous sur la commune de Bourcefranc :

Une autre zone ostréicole, le port de la Cayenne à côté de la Citadelle de Brouage :

Une année avec la nature (2021)

SUR LE BORD DE MER DE L'ILE D'OLERON

Au printemps, au mois de mai

Couple de Courlis cendré

Grand gravelot

Grand gravelot

Tournepierre à collier

Bécasseau sanderling avec son repas

Bécasseau sanderling

Couple de Bécasseaux variables

Pluvier argenté

Le Courlis cendré, espèce peu commune, observée le long du littoral de l'Ile d'Oléron au printemps :

Le Bécasseau sanderling, espèce plus commune, que l'on peut observer en hiver et au printemps sur l'Ile d'Oléron :

Avec le Tournepierre à collier :

Puis le Héron cendré :

On retrouve également le Bécasseau variable présent aux deux saisons :

Avec le Pluvier argenté :

Et le Grand cormoran :

Le Goéland argenté :

Enfin, le Gravelot à collier interrompu est visible uniquement au printemps :

Une année avec la nature (2021)

SUR LE BORD DE MER DE L'ILE D'OLERON

DANS LES MARAIS DE LA CHARENTE-MARITIME

(marais d'Oléron, de Hiers-Brouage et de la Seudre)

Au printemps, au mois de mai

Le mois de mai n'est toujours pas agréable d'un point de vue météorologique avec un temps souvent agité et perturbé.

Le temps est également frais sur toute la France et les averses sont très nombreuses après des mois de mars et d'avril secs.

D'ailleurs, deux tempêtes et des fonds froids ont traversé le pays au début et à la fin du mois de mai.

Heureusement, quelques éclaircies sont venues illuminées les paysages de la Charente-Maritime.

Pour mettre en valeur les belles couleurs de l'estran de l'Ile d'Oléron.

Et pour mettre en avant l'importance des zones humides de la Charente-Maritime avec un patrimoine paysager et bâti exceptionnel et à l'indentité forte.

La plage de la Boirie à Saint-Denis, sur l'Ile d'Oléron au mois de mai, avec ses fameuses cabines de plages :

Les écluses à poissons, patrimoine remarquable de l'Ile d'Oléron :

La plage de la Morelière sous un ciel bleu :

L'estran de la plage du Rivage avec de belles couleurs vertes et des rochers aux formes variées :

Petit tas de galets sur l'estran de la plage de la Brée-les-Bains :

Paysage des marais de l'Eguille dans les terres de l'Ile d'Oléron :

Paysage des marais de Brouage :

Les marais de Brouage et la place importante de l'élevage :

La même barrière qu'au mois de février, mais cette fois sous un ciel plus clément :

Toujours les marais de Brouage avec ses canaux et fossés typiques :

Et avec ses étendues d'eau :

Plus au sud de la Charente-Maritime, les marais de la Seudre, vaste zone humide :

Comme pour les marais de Brouage, on retrouve des canaux et fossés :

Un patrimoine riche et varié en bordure des marais :

La faune, la flore, les paysages et le patrimoine de l'Ile d'Oléron

Commune de la Cotinière

Le Port

Février 2019

Mouette rieuse

Quelques points de vues sur le Port de la Cotinière :

Mouette rieuse :

Tournepierre à collier :

Un Goéland curieux :

La faune, la flore, les paysages et le patrimoine de l'Ile d'Oléron

Commune de Saint-Pierre-d'Oléron

Marais de l'Aiguille

Février 2019

Rapace

Rapace en vol

Les Marais de l'Aiguille à la tombée de la nuit :

Quelques rapaces :

Cigogne blanche :

Cygne tuberculé :

Couple de Tadorne de Belon :

Chevalier gambette :

Un Bruant :

Tarier pâtre :

La faune, la flore, les paysages et le patrimoine de l'Ile d'Oléron

Commune de Boyardville

Plage de Boyardville

Février 2019

Huitriers pie

Huitriers pie